Qu'en est-il du moral au travail ?


Des salariés globalement satisfaits… et épanouis !

74 % des actifs interrogés se disent satisfaits de leur travail

57 % trouvent qu’ils s’y épanouissent

Une satisfaction qui trouverait ses sources :

  • Au niveau organisationnel : dans une bonne adéquation entre les pouvoirs décisionnels accordés et les responsabilités confiées : 60 %
  • Au niveau individuel : dans la motivation élevée qu’ont les salariés vis-à-vis de leur travail : 58 %
  • Au niveau managérial : le bon esprit d’équipe avec leurs collègues : 56 %

La première raison de l’épanouissement des salariés est le sens au travail :

79 % considèrent que leur travail fait « sens » pour eux.

Le sommeil et la santé « dégradés »

1 actif sur 3 considère que son sommeil est perturbé à cause du travail

1 actif sur 4 estime que son travail dégrade sa santé

 3 facteurs semblent être en cause ici :

  • l’hyperinvestissement émotionnel au travail : 41 %
  • le fait de réaliser certaines tâches agaçantes ou socialement gênantes : 29 %
  • les pressions exercées par la hiérarchie pour taire des problèmes : 20 %


Il faut également noter le rôle particulier joué par :

  • la démotivation et/ou absence de motivation due au travail en lui-même : 28 %
  • la difficulté du manager à trouver les bons leviers de motivation : 21 %

Epuisement psychologique et stress au travail : 

un impact non-négligeable

29 % des salariés affirment que leur travail les épuise psychologiquement 

L’analyse des résultats de l’ESTIME montre que cela serait principalement dû :

  • au fait d’être assigné à des tâches agaçantes ou socialement gênantes : 29 %
  • au fait de travailler dans un service où la mauvaise foi entre collègues est très présente : 27 %
  • à une pression trop forte du management : 19 %

27 % des salariés estiment que leur travail les stress affirment que leur travail les épuise psychologiquement

Seraient en cause :

  •  L’hyperinvestissement émotionnel : 41%
  •  Le décentrage par rapport à son cœur de fonction : 40 %
  •  La mauvaise circulation de l’information : 27 %